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Publié le – Mis à jour le
Le montant du salaire est fixé librement au cours d’une négociation entre l’employeur et le salarié. Certaines dispositions légales et conventionnelles doivent toutefois être respectées. Le salaire se compose de l’ensemble des sommes versées en argent et des avantages en nature que perçoit le salarié.
Le salaire est fixé librement par les parties. Sa modification est interdite sans l’accord du salarié.
L’employeur et le salarié fixent ensemble le montant du salaire dans le respect des règles suivantes :
Le montant du salaire ne peut pas être inférieur au Smic mensuel brut, soit 1 801,80 € depuis le 1er novembre 2024
Le montant du salaire doit être le même entre les femmes et les hommes pour un travail équivalent (principe à travail égal, salaire égal )
Il est interdit de fixer le salaire par le biais d’enchères électroniques.
En cours de contrat, le salaire ne peut pas être modifié sans l’accord du salarié.
Le refus du salarié ne peut pas constituer une faute.
Cependant, il peut entraîner son licenciement si la modification du salaire proposée est motivée par une cause réelle et sérieuse (difficultés économiques ou sanction disciplinaire, par exemple)
Toute clause de révision automatique de salaire par une indexation sur l’évolution du Smic est interdite.
Pour le calcul des cotisations sociales, toutes les sommes suivantes versées au salarié font partie de la rémunération :
Salaires ou gains
Indemnités de congés payés
Indemnités, primes, gratifications et tous autres avantages en argent
Avantages en nature, les commissions et les pourboires
Les primes et les gratifications viennent en complément du salaire.
Leur versement est obligatoire s’il est prévu par l’un des dispositifs suivants :
Contrat de travail
Accord collectif
Usage
Engagement unilatéral de l’employeur.
Un simulateur permet de connaître les primes prévues par certaines conventions collectives :
Ces sommes constituent un élément du salaire. Il s’agit par exemple des primes suivantes :
Primes et gratifications annuelles (primes de fin d’année, de 13e mois, de vacances, de bilan, de participation, etc.)
Primes relatives au rattrapage du coût de la vie (primes de vie chère, primes de productivité, etc.)
Primes liées à la personne (prime d’assiduité, de ponctualité, d’ancienneté, etc.)
Primes relatives à certaines conditions de travail (pénibilité, travaux dangereux et insalubres, astreinte, etc.).
Les primes et gratifications ne constituent pas un élément du salaire si elles ne sont pas obligatoires. C’est le cas, par exemple, d’une prime de résultats, d’un bonus variable décidé par l’employeur ou de la prime exceptionnelle de pouvoir d’achat.
Pour le calcul des cotisations sociales, toutes les sommes suivantes versées au salarié font partie de la rémunération :
Salaires ou gains
Indemnités de congés payés
Indemnités, primes, gratifications et tous autres avantages en argent
Avantages en nature, les commissions et les pourboires
Les avantages en nature constituent un élément du salaire qui n’est pas payé en argent (c’est-à-dire en espèces, par chèque ou virement bancaire).
Il s’agit le plus souvent de la fourniture de nourriture ou de la mise à disposition d’un véhicule ou d’un logement de fonction.
Les avantages sont intégrés au salaire pour calculer les montants suivants :
Contrôler le respect du Smic ou du salaire minimum conventionnel
Déterminer l’indemnité à verser au salarié au cours de ses congés payés
Déterminer l’indemnité compensatrice de préavis et l’indemnité de licenciement
Déterminer le montant des cotisations sociales (cotisations de sécurité sociale, CSG et CRDS)
Déterminer le montant des revenus à déclarer pour le calcul de l’impôt sur le revenu
Pour le calcul des cotisations sociales, toutes les sommes suivantes versées au salarié font partie de la rémunération :
Salaires ou gains
Indemnités de congés payés
Indemnités, primes, gratifications et tous autres avantages en argent
Avantages en nature, les commissions et les pourboires
Le montant du salaire est fixé librement au cours d’une négociation entre l’employeur et le salarié. Certaines dispositions légales et conventionnelles doivent toutefois être respectées. Le salaire se compose de l’ensemble des sommes versées en argent et des avantages en nature que perçoit le salarié.
Le salaire est fixé librement par les parties. Sa modification est interdite sans l’accord du salarié.
L’employeur et le salarié fixent ensemble le montant du salaire dans le respect des règles suivantes :
Le montant du salaire ne peut pas être inférieur au Smic mensuel brut, soit 1 801,80 € depuis le 1er novembre 2024
Le montant du salaire doit être le même entre les femmes et les hommes pour un travail équivalent (principe à travail égal, salaire égal )
Il est interdit de fixer le salaire par le biais d’enchères électroniques.
En cours de contrat, le salaire ne peut pas être modifié sans l’accord du salarié.
Le refus du salarié ne peut pas constituer une faute.
Cependant, il peut entraîner son licenciement si la modification du salaire proposée est motivée par une cause réelle et sérieuse (difficultés économiques ou sanction disciplinaire, par exemple)
Toute clause de révision automatique de salaire par une indexation sur l’évolution du Smic est interdite.
Pour le calcul des cotisations sociales, toutes les sommes suivantes versées au salarié font partie de la rémunération :
Salaires ou gains
Indemnités de congés payés
Indemnités, primes, gratifications et tous autres avantages en argent
Avantages en nature, les commissions et les pourboires
Les primes et les gratifications viennent en complément du salaire.
Leur versement est obligatoire s’il est prévu par l’un des dispositifs suivants :
Contrat de travail
Accord collectif
Usage
Engagement unilatéral de l’employeur.
Un simulateur permet de connaître les primes prévues par certaines conventions collectives :
Ces sommes constituent un élément du salaire. Il s’agit par exemple des primes suivantes :
Primes et gratifications annuelles (primes de fin d’année, de 13e mois, de vacances, de bilan, de participation, etc.)
Primes relatives au rattrapage du coût de la vie (primes de vie chère, primes de productivité, etc.)
Primes liées à la personne (prime d’assiduité, de ponctualité, d’ancienneté, etc.)
Primes relatives à certaines conditions de travail (pénibilité, travaux dangereux et insalubres, astreinte, etc.).
Les primes et gratifications ne constituent pas un élément du salaire si elles ne sont pas obligatoires. C’est le cas, par exemple, d’une prime de résultats, d’un bonus variable décidé par l’employeur ou de la prime exceptionnelle de pouvoir d’achat.
Pour le calcul des cotisations sociales, toutes les sommes suivantes versées au salarié font partie de la rémunération :
Salaires ou gains
Indemnités de congés payés
Indemnités, primes, gratifications et tous autres avantages en argent
Avantages en nature, les commissions et les pourboires
Les avantages en nature constituent un élément du salaire qui n’est pas payé en argent (c’est-à-dire en espèces, par chèque ou virement bancaire).
Il s’agit le plus souvent de la fourniture de nourriture ou de la mise à disposition d’un véhicule ou d’un logement de fonction.
Les avantages sont intégrés au salaire pour calculer les montants suivants :
Contrôler le respect du Smic ou du salaire minimum conventionnel
Déterminer l’indemnité à verser au salarié au cours de ses congés payés
Déterminer l’indemnité compensatrice de préavis et l’indemnité de licenciement
Déterminer le montant des cotisations sociales (cotisations de sécurité sociale, CSG et CRDS)
Déterminer le montant des revenus à déclarer pour le calcul de l’impôt sur le revenu
Pour le calcul des cotisations sociales, toutes les sommes suivantes versées au salarié font partie de la rémunération :
Salaires ou gains
Indemnités de congés payés
Indemnités, primes, gratifications et tous autres avantages en argent
Avantages en nature, les commissions et les pourboires