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Publié le – Mis à jour le
Votre association se trouve en difficulté de poursuivre son activité (par exemple, manque de bénévoles, de moyens suffisants, besoin de réorganisation interne), mais des solutions sont envisageables ? Vous vous demandez, en tant que dirigeant, si vous pouvez proposer la mise en sommeil de votre association ? Nous vous indiquons comment procéder.
Pour pouvoir procéder à la mise en sommeil d’une association, il faut que cette situation soit envisagée dans les statuts et que l’assemblée générale vote sa réalisation.
Si les statuts ne prévoient pas la mise en sommeil temporaire de l’association, en tant que dirigeants, vous devrez la dissoudre.
En principe, si la mise en sommeil ne conduit pas à la modification des statuts, aucune déclaration n’est à effectuer à la préfecture.
C’est à l’assemblée générale de fixer les conditions de la mise en sommeil.
Elle doit en fixer la durée et les conditions dans lesquelles cette période prendra fin.
Elle doit décider de la réactivation de l’association (reprise de son activité) ou de sa dissolution (si la reprise d’activité est inenvisageable).
L’assemblée générale doit également désigner la ou les personnes qui seront chargées d’effectuer la gestion de l’association durant la période d’inactivité.
Si la mise en sommeil conduit aussi à l’une des modifications suivantes, elle doit également être déclarée en préfecture :
Modification statutaire
Changement d’adresse de gestion
Ouverture ou fermeture d’un établissement
Vente de locaux
La déclaration peut s’effectuer en ligne, par courrier ou sur place au greffe des associations.
Vous pouvez le faire à l’aide de ce téléservice e-modification, en utilisant l’identifiant et le mot de passe de l’association :
Un formulaire est à remplir. Il diffère selon qu’il s’agit d’une modification du siège social ou des statuts ou d’un changement dans l’administration.
Le procès-verbal de l’assemblée générale sur la décision de la mise en sommeil doit être joint à votre dossier.
Le dossier doit être adressé par lettre recommandée avec accusé de réception au greffe des associations du siège social de votre association.
Vous pouvez effectuer votre déclaration au bureau du greffe des associations de la préfecture.
Un formulaire est à remplir. Il diffère selon qu’il s’agit d’une modification du siège social ou des statuts ou d’un changement dans l’administration.
Le procès-verbal de l’assemblée générale sur la décision de la mise en sommeil doit être joint à votre dossier.
Selon la situation de l’association, l’assemblée générale doit notamment décider, pendant la période de sommeil, des mesures suivantes :
Maintien ou non d’une cotisation
Devenir du local occupé par l’association si elle en dispose et notamment si elle en est locataire ou en dispose à titre gratuit
Devenir du matériel durant cette période
Devenir de la trésorerie
Si l’association conserve ou non son compte bancaire et ses moyens de paiement (chéquiers, carte bancaire)
S’il faut résilier certains contrats (abonnement téléphone/internet par exemple)
S’il est nécessaire de licencier les salariés
Informer les éventuels partenaires (financiers, donateurs,…) de cette décision
Téléservice
Votre association se trouve en difficulté de poursuivre son activité (par exemple, manque de bénévoles, de moyens suffisants, besoin de réorganisation interne), mais des solutions sont envisageables ? Vous vous demandez, en tant que dirigeant, si vous pouvez proposer la mise en sommeil de votre association ? Nous vous indiquons comment procéder.
Pour pouvoir procéder à la mise en sommeil d’une association, il faut que cette situation soit envisagée dans les statuts et que l’assemblée générale vote sa réalisation.
Si les statuts ne prévoient pas la mise en sommeil temporaire de l’association, en tant que dirigeants, vous devrez la dissoudre.
En principe, si la mise en sommeil ne conduit pas à la modification des statuts, aucune déclaration n’est à effectuer à la préfecture.
C’est à l’assemblée générale de fixer les conditions de la mise en sommeil.
Elle doit en fixer la durée et les conditions dans lesquelles cette période prendra fin.
Elle doit décider de la réactivation de l’association (reprise de son activité) ou de sa dissolution (si la reprise d’activité est inenvisageable).
L’assemblée générale doit également désigner la ou les personnes qui seront chargées d’effectuer la gestion de l’association durant la période d’inactivité.
Si la mise en sommeil conduit aussi à l’une des modifications suivantes, elle doit également être déclarée en préfecture :
Modification statutaire
Changement d’adresse de gestion
Ouverture ou fermeture d’un établissement
Vente de locaux
La déclaration peut s’effectuer en ligne, par courrier ou sur place au greffe des associations.
Vous pouvez le faire à l’aide de ce téléservice e-modification, en utilisant l’identifiant et le mot de passe de l’association :
Un formulaire est à remplir. Il diffère selon qu’il s’agit d’une modification du siège social ou des statuts ou d’un changement dans l’administration.
Le procès-verbal de l’assemblée générale sur la décision de la mise en sommeil doit être joint à votre dossier.
Le dossier doit être adressé par lettre recommandée avec accusé de réception au greffe des associations du siège social de votre association.
Vous pouvez effectuer votre déclaration au bureau du greffe des associations de la préfecture.
Un formulaire est à remplir. Il diffère selon qu’il s’agit d’une modification du siège social ou des statuts ou d’un changement dans l’administration.
Le procès-verbal de l’assemblée générale sur la décision de la mise en sommeil doit être joint à votre dossier.
Selon la situation de l’association, l’assemblée générale doit notamment décider, pendant la période de sommeil, des mesures suivantes :
Maintien ou non d’une cotisation
Devenir du local occupé par l’association si elle en dispose et notamment si elle en est locataire ou en dispose à titre gratuit
Devenir du matériel durant cette période
Devenir de la trésorerie
Si l’association conserve ou non son compte bancaire et ses moyens de paiement (chéquiers, carte bancaire)
S’il faut résilier certains contrats (abonnement téléphone/internet par exemple)
S’il est nécessaire de licencier les salariés
Informer les éventuels partenaires (financiers, donateurs,…) de cette décision
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