Règlement Local de Publicité (RLP)

Le règlement local de publicité (RLP) concerne tous les professionnels s'installant au Cannet des Maures.

Publié le – Mis à jour le

Il permet d’harmoniser les enseignes et publicités tout en limitant la pollution visuelle et lumineuse.

Demandes d’autorisation de pose d’enseignes

Première démarche, consulter le règlement local de publicité pour construire un projet compatible avec le règlement. Ne pas hésiter à en informer les fournisseurs qui ne connaissent pas toujours la réglementation communale.

Pour toute modification, remplacement, pose d’une enseigne, vous devez au préalable demander l’autorisation du Maire : un cerfa téléchargeable ici accompagné des pièces indiquées doit être transmis en Mairie, au Pôle Urbanisme et Développement Durable.

Pour déclarer une publicité, il faut également remplir un formulaire cerfa accompagné des pièces indiquées et le transmettre également en Mairie, au Pôle Urbanisme et Développement Durable.

Les règles communales

Pour préserver la qualité des paysages, la Commune du Cannet des Maures s’est dotée d’un règlement local de publicité en date du 7 juillet 2011, afin de lutter contre la prolifération de la publicité et d’encadrer la signalétique commerciale.

Le règlement local de publicité est téléchargeable ici. Ce règlement a été présenté à plusieurs reprises aux commerçants qui sont étroitement associés à la politique communale en faveur de l’organisation de la publicité. Par ailleurs, la commune a engagé une démarche de résorption des publicités et pré enseignes illégales, ce qui a conduit à l’enlèvement d’environ 100 dispositifs pour l’année 2012-début 2013, en partenariat avec la Direction des Routes du Conseil Départemental du Var.

La commune mène également de façon régulière des procédures à l’encontre des enseignes implantées sans autorisation ou ne respectant pas les dispositions du règlement local de publicité.

Enfin, la municipalité s’est engagée dans la démarche de FISAC qui entre autres actions, doit définir une signalétique commerciale de type SIL (Signalétique d’Information Locale) afin de mieux informer, grâce à un mobilier urbain de qualité et harmonieux. Cette démarche est menée en partenariat avec l’association des commerçants, le PRCM (Professionnels Réunis du Cannet des Maures).

Micro-entrepreneur : ce qu’il faut savoir

Le statut de micro-entrepreneur (ou auto-entrepreneur) permet d’exercer en nom propre. Il s’agit d’une entreprise individuelle qui bénéficie d’un régime fiscal et social simplifié. La création d’une micro-entreprise est rapide et présente moins de contraintes que celle d’une société.

    Lorsqu’on souhaite exercer une activité seul, l’entreprise individuelle est une très bonne option. En tant que micro-entrepreneur, vous créez une entreprise individuelle que l’on appelle micro-entreprise car votre chiffre d’affaires ne dépasse pas un certain montant.

    Les modalités de création et la gestion de l’entreprise sont plus simples que celles d’une société. Par exemple, vous n’avez pas besoin de rédiger des statuts ou de constituer un capital social.

    L’entreprise individuelle contrairement à la société n’entraine pas la création d’une personnalité juridique. Elle est rattachée à votre personne, c’est pourquoi il n’est pas possible de posséder plusieurs entreprises individuelles (1 individu = 1 entreprise individuelle).

    Vous pouvez exercer une activité commerciale, artisanale ou libérale.

    Lorsque vous exercez une activité sous le statut de micro-entrepreneur, votre patrimoine personnel et votre patrimoine professionnel sont automatiquement séparés.

    Votre patrimoine professionnel est composé de tout ce qui est utile à votre activité professionnelle. Il s’agit par exemple de votre local professionnel, de votre compte bancaire professionnel.

    Votre patrimoine personnel, quant à lui, est composé de tout ce qui ne rentre pas dans dans votre patrimoine professionnel : par exemple, vos livrets, votre résidence secondaire.

    Cette séparation protège votre patrimoine personnel de vos éventuelles dettes professionnelles. En revanche, si vous ne respectez pas vos obligations fiscales ou sociales, l’administration fiscale ou les organismes de sécurité sociale peuvent obtenir le remboursement de leurs créances sur vos deux patrimoines.

    À savoir

    Pour en savoir plus sur la séparation de patrimoines, vous pouvez consulter la fiche correspondante.

    Pour bénéficier du régime fiscal de la micro-entreprise, vous ne devez pas dépasser un certain seuil de chiffre d’affaires. Ce seuil varie en fonction de l’activité exercée.

    Vous générez des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) imposés à l’impôt sur le revenu (IR). Votre chiffre d’affaires ne doit pas dépasser 188 700 € .

    Lorsque vous dépassez ce seuil, vous êtes soumis à un régime réel d’imposition.

    Vous avez également la possibilité d’opter pour bénéficier d’un régime réel d’imposition, même si vous respectez le seuil de chiffre d’affaires. Pour en savoir plus sur les régimes réels d’imposition, vous pouvez consulter la fiche correspondante.

    Le régime de la micro-entreprise simplifie vos obligations fiscales. Pour en savoir plus sur ce régime, vous pouvez consulter la fiche correspondante.

      Vous générez des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) imposés à l’impôt sur le revenu. Votre chiffre d’affaires ne doit pas dépasser 188 700 € .

      Lorsque vous dépassez ce seuil, vous êtes soumis à un régime réel d’imposition. Vous avez également la possibilité d’opter pour bénéficier d’un régime réel d’imposition, même si vous respectez le seuil de chiffre d’affaires. Pour en savoir plus sur ce régime, vous pouvez consulter la fiche correspondante.

      Le régime de la micro-entreprise simplifie vos obligations fiscales. Pour en savoir plus sur ce régime, vous pouvez consulter la fiche correspondante.

        Vous générez des bénéfices industriels ( BIC ) et commerciaux ou des bénéfices non commerciaux ( BNC ) qui sont imposés à l’impôt sur le revenu. Votre chiffre d’affaires ne doit pas dépasser 77 700 € .

        Lorsque vous dépassez ce seuil, vous êtes soumis à un régime réel d’imposition. Vous avez également la possibilité d’opter pour bénéficier d’un régime réel d’imposition, même si vous respectez le seuil de chiffre d’affaires. Pour en savoir plus sur ce régime, vous pouvez consulter la fiche correspondante.

        Le régime de la micro-entreprise simplifie vos obligations fiscales. Pour en savoir plus sur ce régime, vous pouvez consulter la fiche correspondante.

          Vous êtes soumis au régime social des travailleurs non salariés. Le montant et le calcul de vos cotisations sociales varie en fonction de votre activité et de votre chiffre d’affaires.

          Le montant de vos cotisations sociales est égal à 12,3 % de votre chiffre d’affaires. Lorsque votre chiffre d’affaires est égale à 0 € , alors vous ne payez pas de cotisations sociales. Vous pouvez cependant opter pour payer des cotisations minimales afin de bénéficier d’une protection sociale même en l’absence de chiffre d’affaires.

            Le montant de vos cotisations sociales est égal à 21,2 % de votre chiffre d’affaires. Lorsque votre chiffre d’affaires est égale à 0 € , alors vous ne payez pas de cotisations sociales. Vous pouvez cependant opter pour payer des cotisations minimales afin de bénéficier d’une protection sociale même en l’absence de chiffre d’affaires.

              Le montant de vos cotisations sociales est égal à 6 % de votre chiffre d’affaires. Lorsque votre chiffre d’affaires est égale à 0 € , alors vous ne payez pas de cotisations sociales. Vous pouvez cependant opter pour payer des cotisations minimales afin de bénéficier d’une protection sociale même en l’absence de chiffre d’affaires.

                Le montant de vos cotisations sociales est égal à 21,2 % de votre chiffre d’affaires. Lorsque votre chiffre d’affaires est égale à 0 € , alors vous ne payez pas de cotisations sociales. Vous pouvez cependant opter pour payer des cotisations minimales afin de bénéficier d’une protection sociale même en l’absence de chiffre d’affaires.

                  Le montant de vos cotisations sociales est égal à 21,1 % de votre chiffre d’affaires. Lorsque votre chiffre d’affaires est égale à 0 € , alors vous ne payez pas de cotisations sociales. Vous pouvez cependant opter pour payer des cotisations minimales afin de bénéficier d’une protection sociale même en l’absence de chiffre d’affaires.

                    Pour en savoir plus sur vos cotisations sociales, vous pouvez consulter la fiche sur le régime social du micro-entrepreneur.

                    Vous pouvez transmettre votre entreprise individuelle à un membre de votre famille, à un salarié ou à un tiers (ex : une société). La transmission peut être réalisée à titre gratuit (donation) ou à titre onéreux (cession ou apport en société).

                    En revanche, plusieurs problématique se posent :

                    • Qu’avez-vous à transmettre (modèles, savoir-faire, technologies, site internet, marque, fichier client, fichier fournisseur…) ?

                    • Comment fixer le prix de cession ? Le micro-entrepreneur qui ne tient pas de comptabilité et qui n’a que son chiffre d’affaires à présenter aura des difficultés pour évaluer la rentabilité de son affaire. Le prix de cession fera l’objet de discussion et de négociation avec le repreneur.

                    • Est-ce que vos clients et fournisseurs suivront l’entreprise si ce n’est plus vous aux commandes ?

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