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Pour l'amour de l'art : Adultes
  • Le : vendredi, 14 octobre 2022

 La Vitrine de Catherine ou L'Art (contemporain) ne compte pas pour rien !

Antoine Duris est professeur aux Beaux-Arts de Lyon. Du jour au lendemain, il décide de tout quitter pour devenir gardien de salle au musée d’Orsay. Personne ne connaît les raisons de cette reconversion ni le traumatisme qu’il vient d’éprouver. Pour survivre, cet homme n'a trouvé qu’un remède, se tourner vers la beauté. Derrière son secret, on comprendra qu’il y a un autre destin, celui d’une jeune femme, Camille, hantée par un drame.

 

 

 

Le roman décrit le parcours biographique et créatif de Jed Martin, un artiste français qui rencontre Michel Houellebecq en Irlande afin de lui demander d'écrire le texte d'un catalogue d'exposition, et qui signe son portrait peint. L'auteur a donc l'occasion de décrire une version en partie fictionnelle de lui-même, sous un jour parfois peu avenant de misanthrope. Jed Martin, d'après Michel Houellebecq, « consacra sa vie à la reproduction de représentations du monde, dans lesquelles cependant les gens ne devaient nullement vivre ».

style="font-size: 14.0pt;">https://youtu.be/fR4A_MZGrTA

 

 

 

Septembre 1908. Gabriële Buffet, une jeune femme de vingt-sept ans, indépendante, musicienne, féministe avant l'heure, rencontre Francis Picabia, un peintre à succès et à la réputation sulfureuse. Il avait besoin d'un renouveau dans son œuvre, elle est prête à briser les carcans : insuffler, faire réfléchir, théoriser. Elle devient « la femme au cerveau érotique » qui met tous les hommes à genoux, dont Marcel Duchamp et Guillaume Apollinaire. Entre Paris, New York, Berlin, Zurich, Barcelone, Étival et Saint-Tropez, Gabriële guide les précurseurs de l'art abstrait, des futuristes, des Dada, toujours à la pointe des avancées artistiques. Ce livre nous transporte au début d'un XXe siècle qui réinvente les codes de la beauté et de la société.

 

 

 

Ce recueil de témoignages et de réflexions offre une chronique des idoles d'hier et d'aujourd'hui qui interroge l'énigme du temps immobile. Il est des images fixes que l'on peut dater par leur style ou leur technique, mais qui demeurent cependant étonnamment contemporaines. Les archives visuelles des civilisations éteintes, telles les félins de la grotte Chauvet, restent vivantes

https://enseignants.lumni.fr/fiche-media/00000001138/entretien-avec-regis-debray-sur-le-role-de-l-image.html

 

 

Décembre 1897, Paris. Edmond Rostand, marié et père de deux enfants, n'a pas écrit une ligne depuis deux ans. La tragédie n'étant plus à la mode, il offre une comédie héroïque au grand Constant Coquelin. Rostand, qui n'est guère inspiré, n'a que quelques semaines pour livrer son oeuvre. Il n'est pas aidé, entre les caprices des actrices, les exigences de ses producteurs corses, la jalousie de sa femme, les histoires de coeur de son meilleur ami. Au fil de ses rencontres et des hasards, il finit par trouver le titre de sa pièce : " Cyrano de Bergerac "...

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